Après l'effervescence de la campagne électorale des municipales de 2008, la commune de Vézénobres progressivement s'est à nouveau plongée dans la léthargie politique. Il faut dire que la municipalité y a grandement contribué par l'atonie de sa politique.
Pendant plus d'un an rien ne s'est passé. Les électeurs bienveillants ont mis cet immobilisme sur le compte de la prise en main de la machine municipale. " Voyons, où est donc l'interrupteur de la machine à café ? " " Comment met-on en fonction la télé qui est sur mon bureau ? " " Ah, c'est pas une télé ! c'est un ordina-quoi ? ". Voici un aperçu des questions fondamentales auxquelles ont été confrontés nos nouveaux élus pendant plus d'un an.
Après cette période de calme plat ponctué de la publication de " figurez-vous " pleins d'informations inutiles et d'éditoriaux sur le ton de " tout va très bien Madame la Marquise ", les élus ont fait du zèle en lançant la procédure d'élaboration du plan local d'urbanisme (le fameux PLU). Malgré les extravagances annoncées par un bureau d'études dont le génie consiste surtout à émettre des factures aussi importantes que ses dossiers sont vides, Vézénobres ne s'est pas départi de son calme amorphe.
Dans ce contexte d'anesthésie générale, seule la voix de Marie-Claude Richard essayait de se faire entendre parmi les ronflements des élus assoupis lors des conseils municipaux.
Le projet du Préfet aurait du passer comme un suppositoire glycériné. Il suffisait au maire d'inscrire entre deux délibérations anodines, celle acceptant le rattachement de la commune au Grand Alès. Le conseil municipal l'aurait adopté comme d'habitude sans sourciller. Mais patatras, le maire fait du zèle, il veut convoquer un conseil municipal en séance " privée ". Et là c'est la goutte d'eau.
La fameuse goutte d'eau qui trace la bissectrice entre les citoyens et les paillassons, entre les républicains et les cyniques, entre les démocrates et ceux qui prétendent l'être, entre l'intérêt général et la somme des intérêts particuliers.
Grâce à la goutte d'eau de M MIALHE les bons esprits se sont reconnus, rencontrés et enfin regroupés.
Ils se sont indignés de la dérive de cette institution fondamentale qu'est la démocratie locale qui détermine toutes les autres. Ils sont scandalisés des conflits d'intérêts acceptés qui décrédibilisent certains conseillers municipaux et pas des moindres. Ils sont écœurés de la paresse de ces élus qui n'étudient pas les dossiers ne s'informent pas et acceptent sans conscience ni remord des décisions graves pour l'avenir de ceux qui leur ont fait confiance.
Quelle que soit l'issue de cette bataille sur le sort de la CCRV. La résistance s'est organisée pour continuer le combat pour la démocratie.
Et tout cela grâce à qui ? Grâce à M MIALHE ! Il est le refondateur involontaire mais efficace de la démocratie à Vézénobres. Le rassemblement républicain lui doit son acte de naissance. Encore une fois, un grand merci à M MIALHE.
Pendant plus d'un an rien ne s'est passé. Les électeurs bienveillants ont mis cet immobilisme sur le compte de la prise en main de la machine municipale. " Voyons, où est donc l'interrupteur de la machine à café ? " " Comment met-on en fonction la télé qui est sur mon bureau ? " " Ah, c'est pas une télé ! c'est un ordina-quoi ? ". Voici un aperçu des questions fondamentales auxquelles ont été confrontés nos nouveaux élus pendant plus d'un an.
Après cette période de calme plat ponctué de la publication de " figurez-vous " pleins d'informations inutiles et d'éditoriaux sur le ton de " tout va très bien Madame la Marquise ", les élus ont fait du zèle en lançant la procédure d'élaboration du plan local d'urbanisme (le fameux PLU). Malgré les extravagances annoncées par un bureau d'études dont le génie consiste surtout à émettre des factures aussi importantes que ses dossiers sont vides, Vézénobres ne s'est pas départi de son calme amorphe.
Dans ce contexte d'anesthésie générale, seule la voix de Marie-Claude Richard essayait de se faire entendre parmi les ronflements des élus assoupis lors des conseils municipaux.
Le projet du Préfet aurait du passer comme un suppositoire glycériné. Il suffisait au maire d'inscrire entre deux délibérations anodines, celle acceptant le rattachement de la commune au Grand Alès. Le conseil municipal l'aurait adopté comme d'habitude sans sourciller. Mais patatras, le maire fait du zèle, il veut convoquer un conseil municipal en séance " privée ". Et là c'est la goutte d'eau.
La fameuse goutte d'eau qui trace la bissectrice entre les citoyens et les paillassons, entre les républicains et les cyniques, entre les démocrates et ceux qui prétendent l'être, entre l'intérêt général et la somme des intérêts particuliers.
Grâce à la goutte d'eau de M MIALHE les bons esprits se sont reconnus, rencontrés et enfin regroupés.
Ils se sont indignés de la dérive de cette institution fondamentale qu'est la démocratie locale qui détermine toutes les autres. Ils sont scandalisés des conflits d'intérêts acceptés qui décrédibilisent certains conseillers municipaux et pas des moindres. Ils sont écœurés de la paresse de ces élus qui n'étudient pas les dossiers ne s'informent pas et acceptent sans conscience ni remord des décisions graves pour l'avenir de ceux qui leur ont fait confiance.
Quelle que soit l'issue de cette bataille sur le sort de la CCRV. La résistance s'est organisée pour continuer le combat pour la démocratie.
Et tout cela grâce à qui ? Grâce à M MIALHE ! Il est le refondateur involontaire mais efficace de la démocratie à Vézénobres. Le rassemblement républicain lui doit son acte de naissance. Encore une fois, un grand merci à M MIALHE.
De quel côté soufle le vent de l'histoire? Pour qui sonne le glas?
RépondreSupprimerAllo SOS Amitiés 0467630063
RépondreSupprimerEn confirmant sa volonté d'adhérer au grand Alès le 7 juin dernier, Mr Mialhe s'appuyait sur la certitude d'une majorité au sein de son conseil municipal. Un grand moment de solitude un mois après malgré la présence d'un bon nombre de conseillers
Serait il plus facile pour eux de s'exprimer en séance "privée" qu'en réunion publique ?
Il n'est pas juste de désigner le Maire comme étant le seul responsable de toute cette agitation. Notre adjoint a d'urbanisme porte sa part de responsabilité dans la tempète ou est embarqué notre commune. Il ne serait pas juste d'oublier aussi notre conseiller général, fraichement réélu, qui n'a jamais caché son envie de rejoindre l'Agglo Alésienne.
RépondreSupprimerEmile Vérarun
Amis électeurs du canton de Vézénobres, il y a moins de 4 mois, Monsieur Garossino Conseiller Général sortant représentant du PS emportait d'une courte avance (152 voix) les élections cantonales sur notre canton.
RépondreSupprimerSans crainte de nous tromper, ce monsieur a assurément trompé ses électeurs en esquivant le débat précédant les cantonales. La question de l'intercommunalité lui aurait été certainement posée et il aurait nécessairement dû dévoiler publiquement ses positions favorables à la fusion avec le Grand-Alès.
Aujourd'hui, compte tenu de sa position enfin éclaircie publiquement, ce personnage ne serait certainement pas élu, ce qui n'aurait été que justice, on ne trompe pas éternellement pas ses électeurs impunément.
Nous affirmons aujourd'hui publiquement que Garo = Agglo, nous nous engageons à le rappeler aux électeurs le moment venu. Non content d'avoir trompé ses électeurs sur le canton de Vézénobres, ce monsieur s'est permis d'engager l'étiquette de son parti. Comment accorder une quelconque crédibilité aux représentants du PS que ce soit au niveau de la commune de Vézénobres, au niveau du canton et au-delà !!!
L' Insurgé du Dévès