mercredi 13 juillet 2011

Amis Vézénobriens, exprimez-vous ici

Amis Vézénobriens, envoyez vos commentaires, vos avis sur la position de la municipalité et celle des "premiers élus" de Vézénobres à notre adresse internet
Nous publierons vos points de vue dans cette page.
Merci de confirmer si vous souhaitez que votre nom soit publié.

2 commentaires:

  1. Déjà en 2008, le maire de Vézénobres déclarait vouloir rejoindre l’agglo voisine. Depuis, il semble, je souligne bien qu’il semble …. Qu’une majorité du conseil municipal de Vézénobres soit favorable à l’adhésion au Grand-Alès.
    Depuis ce temps, le préfet est passé par là avec un projet de Grand-Alès. La donne a changé complètement par rapport aux analyses (déjà pas très favorables) de 2008, ne serait-ce pas opportun de se reposer la question entre élus responsables ? Allons monsieur le maire ! vos administrés sont dans une large majorité hostiles à votre démarche, pourquoi n'essayez-vous pas de les convaincre qu'ils ont tort ? Mais pourquoi ? Vous refusez de les écouter ! Vous refusez aussi de poser au conseil la question d'actualité que se pose bien légitimement toutes les communes, y compris, celles du Grand-Alès ? Avouez qu'il-y-a de quoi s'interroger sur vos véritables motivations ?

    Un citoyen qui y croit encore !!!

    RépondreSupprimer
  2. A l'issue de la réunion convoquée par le maire de Vézénobres, j'avais le sentiment que nos représentants élus ou désignés avaient une conception curieuse de la démocratie locale.
    Entre notre maire qui a son propre avis mais qui ne tient pas compte du nôtre et notre préfet qui empêche le référendum à Ners, qui compose à sa guise un CDCI de 45 personnes et qui impose à celui un quota de 30 voix ( + un contre projet) pour refuser le projet quand il n'en faudra que 16 pour le valider, je me dis que les dés sont - un peu ! - pipés.
    Au-delà de la bataille des chiffres qui ne sont que visions ou prévisions, cette marche forcée ne me dit rien qui vaille.
    Et comme la marche arrière n'a pas l'air d'être prévue , même en option, je suis pour l'application là comme ailleurs du principe de précaution. Conservons pour l'heure ce qui marche bien et ce qui nous convient bien, prenons le temps de la réflexion, de l'échange et de l'observation avant de nous engager dans un processus qui semble irréversible et par bien des aspects inquiétants.
    TO

    RépondreSupprimer

Exprimez vous ici, dans cet espace