Au conseil municipal de Vézénobres du jeudi 21 juillet 2011, il y avait foule et des représentants de la presse. Alors les élus ont joué des coudes pour faire leur one man show.
Garo nous l'a jouée modeste ce soir.
Assis isolé, au bout de l'extrême droite de la table du conseil, GARO a rompu son silence habituel pour prendre son courage à deux mains et la parole par la même occasion. Il a déplié la feuille sur laquelle était écrit son discours et l'a récité comme un bon élève bien appliqué. En fait, il a justifié l'injustifiable : comment il est possible à Nîmes, en tant qu'élu de gauche, de condamner le projet du préfet. Puis une fois de retour à la mairie de Vézénobres, de l'accepter en tant qu'élu municipal.
Son argument, sans être limpide, peut être compris de la manière suivante : les élus UMP de la région d'Alès critiquent Max ROUSTAN et s'opposent à l'intégration de leur commune respective dans le Grand Alès. Aussi, un élu de gauche tel que GARO peut souscrire aux motions émises par les socialistes à Nîmes, et dans le même temps s'opposer aux élus UMP en les prenant à contrepied en acceptant de fusionner la CCRV avec le Grand Alès. Vous avez compris ? Non ? Pas étonnant c'est de la grande politique, la seule que notre GARO sait pratiquer.
Et puis dernier argument, mais non des moindres, il y va de l'avenir de nos enfants.
Alors là GARO reste modeste. Il se garde bien de préciser de quel avenir il s'agit. De celui radieux que souhaite tout parent pour ses enfants, ou celui que réservent souvent les villes à la jeunesse. Mais là encore, la réalité balaie l'équivoque : vu l'audacieuse politique menée par la municipalité de Vézénobres envers les jeunes, il n'est pas douteux que l'agglo d'Alès fera mieux.
En résumé, GARO ne paraissait pas très convaincu. En toute logique, il n'a pas été très convainquant.
Garo nous l'a jouée modeste ce soir.
Assis isolé, au bout de l'extrême droite de la table du conseil, GARO a rompu son silence habituel pour prendre son courage à deux mains et la parole par la même occasion. Il a déplié la feuille sur laquelle était écrit son discours et l'a récité comme un bon élève bien appliqué. En fait, il a justifié l'injustifiable : comment il est possible à Nîmes, en tant qu'élu de gauche, de condamner le projet du préfet. Puis une fois de retour à la mairie de Vézénobres, de l'accepter en tant qu'élu municipal.
Son argument, sans être limpide, peut être compris de la manière suivante : les élus UMP de la région d'Alès critiquent Max ROUSTAN et s'opposent à l'intégration de leur commune respective dans le Grand Alès. Aussi, un élu de gauche tel que GARO peut souscrire aux motions émises par les socialistes à Nîmes, et dans le même temps s'opposer aux élus UMP en les prenant à contrepied en acceptant de fusionner la CCRV avec le Grand Alès. Vous avez compris ? Non ? Pas étonnant c'est de la grande politique, la seule que notre GARO sait pratiquer.
Et puis dernier argument, mais non des moindres, il y va de l'avenir de nos enfants.
Alors là GARO reste modeste. Il se garde bien de préciser de quel avenir il s'agit. De celui radieux que souhaite tout parent pour ses enfants, ou celui que réservent souvent les villes à la jeunesse. Mais là encore, la réalité balaie l'équivoque : vu l'audacieuse politique menée par la municipalité de Vézénobres envers les jeunes, il n'est pas douteux que l'agglo d'Alès fera mieux.
En résumé, GARO ne paraissait pas très convaincu. En toute logique, il n'a pas été très convainquant.
NON il n'a pas été très convainquant quand il a dit.
RépondreSupprimer"Ce n’est pas la panacée, mais ce n’est pas le pire."
Le vote du conseil municipal de Vézénobres, majoritairement pour le rattachement au grand Ales., ne signifie pas que tout est perdu, bien au contraire. Restons mobilisés et faisons signer la pétition ! Nous sommes un petit groupe sur St Jean de Ceyrargues , prêt à faire du porte à porte pour faire signer la pétition durant la semaine prochaine à St Maurice ,Ners ou Vézénobres … si cela n’a pas été fait .
RépondreSupprimerIl faut des personnes relais dans chaque village rejoignez nous ,Ensemble nous sommes plus fort.
Le plus fin de tous a déclaré "Même si nous ne savons pas où l’on va, allons y", voila un élu du peuple qui n'a pas peur du noir.
RépondreSupprimerBravo aux 6 courageux élus qui ont refusé cette marche vers l'inconnu et bien dommage que leur chef de file boudeur (le fondateur de la CCRV) ait décidé de rester chez lui hier soir...
Monsieur le président de la CCRV, cela a assez duré, il est grand temps maintenant de retirer les délégations des élus de Vézénobres et surtout de cesser de payer l'indemnité du vice-président cumulard et de désigner le maire de St Just à sa place.